Pas de débordement de joie à la fin de ce match après une
deuxième mi-temps totalement ratée…
Des explications ?
Il y en a quelques-unes :
- Nous avons d’abord
eu l’impression d’avoir bien joué en première mi-temps, mais en réalité nous
étions plutôt assez lents et moyennement concentrés, car on aurait très bien pu
finir avec 20 buts d’avance à la pause avec la ½ douzaine d’occasions directes
non exploitées…
- C’est plutôt
Villiers qui était particulièrement mauvais et qui nous rendait directement la
balle pendant toute cette première mi-temps, sa défense à plat trop étirée et
peu mobile nous donnant l’occasion de fusiller la gardienne sur toutes les
positions arrières ainsi qu’à 6m plein centre…
- Nous avons continué
à être lents en seconde période face à une équipe adverse qui a enfin joué son
jeu aussi bien sur contre-attaque qu’en attaque placée, où beaucoup de tirs ont
fait mouche à 9m, pendant qu’en défense son agressivité et sa défense haute nous
ont fortement perturbés car nous n’avons pas vraiment cherché à jouer en
rentrant à l’opposé de la balle et les arrières étaient trop proches des
défenseurs.
- Pour finir,
contrairement à ce que j’ai pu entendre, nous avions bel et bien une équipe
légèrement amoindrie ce samedi sur le plan physique et un banc un peu moins
fourni que d’habitude.
Après avoir analysé tout cela, je
dirai que c’est un moindre mal d’avoir remporté ce match avec 9
buts d’avance !
Heureusement, Il y a eu quand même
quelques bons mouvements et des contre-attaques bien menées en première
mi-temps, qui peuvent nous laisser croire que si Villiers avait bien entamé la
rencontre, nous aurions probablement été plus réactives sur l’ensemble du match
(?)
On va donc retravailler
sérieusement dès cette semaine (avec les joueuses valides) pour être prêts à
livrer notre dernier combat de l’année contre Harnes le samedi 15 décembre au
gymnase Poliveau.
Félicitations pour cette
victoire, car ce sont 3 points précieux en vue d’un maintien qui paraitrait
déjà logique, mais surtout pour avoir le droit de croire encore à une
accession…
Stéphane
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